Le retour du Dévorêve

Invité

Le rêve d'èmeraude était agité de remoues. L'influence du cauchemar s'étendait, pervertissant ce qui avait le melheur de croiser sa route et semant le chaos et la mort. Le temps pressait et le Dévorêve était enfin prêt à revenir d'entre les morts une nouvelle fois. Cela faisait longtemps que son esprit n'avait plus goûté la saveur de la chair et du vent, longtemps que les senteurs d'Azeroth lui manquaient ... ainsi que ses anciens compagnons et surtout sa femme et sa fille. Depuis qu'il avait quitté le monde qu'il avait jadis tenté de détruire, il s'était posé milles questions sur cette famille qu'il avait été contraint d'abandonner. Etait-elle encore vivantes? Le reconnaîtrait-elle lorsque les deux personnes auxquels ils avaient tenu le plus le verraient après tant de temps?

Le temps pressait. La pestilente présence qui empoisonnait ce lieu se rapprochait, Le Dévorêve ne pouvait pas attendre plus longtemps. Ayant détruit son ancien corps, il se mit à invoquer un savoir ancien et peu à peu, il commença à renouer des liens avec le monde de la matière. Tout autour de son esprit, un corps se formait en accord avec les capacitées nouvelles qu'il avait acquises aux cours de son errance.
Il vit le rêve d'èmeraude disparaître tel un voile rongé par le feu tandis que ses yeux quittaient le plan du rêve pour devenir réalité.
Surpris par les retrouvailles soudaines de la masse corporelle, le Dévorêve tomba à genoux tandis qu'il respirait de l'air pour la première fois depuis bien trop longtemps. Rapidemment, il retrouva l'usage de ses jambes et parvint à se redresser. Il mit ses mains en évidence et constata qu'elles étaient bien différentes de celle d'avant. Elles étaient plus fines et adroites. Il frôla l'ensemble de son nouveau corps car il le découvrait pour la première fois et le découvrait.
Son apparences n'avaient plus rien à voir avec celle d'elfe de la nuit d'avant. Bien qu'il n'en demeure pas moins de sexe masculin, ce corps était très éfféminé tout autant plus fort que l'ancien. Ses long cheveux argentés d'autrefois étaient devenu noir comme le jais, ses jambes étaient plus courbées et se terminaient par des sabots étranges et ses oreilles avaient adopté une forme ressemblant à des cornes sans en être.

Mais après la découverte presque joyeuse de cete nouvelle envellope vînt la surprise la plus improbable. Le Dévorêve se rendit compte qu'il n'avait pas attéri en Azeroth. L'endroit où il se trouvait ne ressemblait à aucune des régions connues de Kalimdor ou même du continent de l'Est. Ces étendues désertiques aux couleurs rouges et ce ciel faisait un peu pensé à Durotar, mais les ressemblances n'étaient que trop vagues pour que ce fut ça. Les vents magiques environnants étaient eux même bien différents. Ce n'était même pas le même monde car où qu'il porte son regard, le Dévorêve ne ressentait pas la présence de ce qui fut le berceau de sa naissance : l'ancien puit d'éternité.
L'évidence s'imposa d'elle-même. Par accident, il n'avait pas attéri en Azeroth comme il l'espérait, mais en Draenor, le monde mystique dont il avait entendu et lu tant d'histoires et de références au cours des âges. Le désespoir failli le saisir ... quand une information capitale lui revint brutalement en mémoire. Il se remémora une conversation avec un de ses amis d'Azeroth, Mnemosyn le démoniste. La pensée de ce démoniste un peu déjanté le fit rire. Il se souvenait encore de lui en train de lâcher accidentellement un infernal en plein milieu de Stormwind et où tous interrompaient aussitôt leurs conversations pour terrasser le problème.
Revenant à son sujet de départ, le Dévorêve se souvint de cette nuit où il avait invité Mnemosyn à parler derrière le temple d'Elune. Oui! Le Dévorêve lui avait bien dit que la porte entre les mondes de la légion ardente et d'Azeroth s'apprêtait à céder. Par monde de la légion ardente, il avait parlé justement de Draenor, l'appelant juste par un nom évoquant les dangers qui allaient suivre l'apparition d'un accès. Cela faisait si longtemps que ça s'était presque effacer de sa mémoire.
Bien que d'une part, ce souvenir ne le réjouit pas, le "revenant" fut soulagé car ce n'était plus qu'une question de temps avant qu'il ne puisse rejoindre ses amis de l'autre côté.
Un sourire se dessina sur son visage et un instant ses yeux brillèrent d'une lueur verte maladive, caractèriqtique qui lui était survécu malgré sa métamorphose. Les barrières qui séparaient Azeroth et Draneor s'affaiblissaient chaques jours un peu plus, mais ils restaient encore un peu de temps avant que la porte des ténèbres ne redevienne utilisable dans un sens ou dans l'autre et c'était parfait pour le Dévorêve car son séjour prolongé dans le rêve d'èmeraude lui avait fait oublier bon nombre de bases du monde où l'on respire qu'il se devait de retrouver. Mais en plus, il devait apprendre à maîtriser les nouveaux pouvoirs qu'il avait acquis dans le monde des rêves dans celui de la matière où les rêgles divergeaient. La route était encore longue!

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Le rêve d'èmeraude était agité de remoues. L'influence du cauchemar s'étendait, pervertissant ce qui avait le melheur de croiser sa route et semant le chaos et la mort. Le temps pressait et le Dévorêve était enfin prêt à revenir d'entre les morts une nouvelle fois. Cela faisait longtemps que son esprit n'avait plus goûté la saveur de la chair et du vent, longtemps que les senteurs d'Azeroth lui manquaient ... ainsi que ses anciens compagnons et surtout sa femme et sa fille. Depuis qu'il avait quitté le monde qu'il avait jadis tenté de détruire, il s'était posé milles questions sur cette famille qu'il avait été contraint d'abandonner. Etait-elle encore vivantes? Le reconnaîtrait-elle lorsque les deux personnes auxquels ils avaient tenu le plus le verraient après tant de temps?
Le temps pressait. La pestilente présence qui empoisonnait ce lieu se rapprochait, Le Dévorêve ne pouvait pas attendre plus longtemps. Ayant détruit son ancien corps, il se mit à invoquer un savoir ancien et peu à peu, il commença à renouer des liens avec le monde de la matière. Tout autour de son esprit, un corps se formait en accord avec les capacitées nouvelles qu'il avait acquises aux cours de son errance.
Il vit le rêve d'èmeraude disparaître tel un voile rongé par le feu tandis que ses yeux quittaient le plan du rêve pour devenir réalité.
Surpris par les retrouvailles soudaines de la masse corporelle, le Dévorêve tomba à genoux tandis qu'il respirait de l'air pour la première fois depuis bien trop longtemps. Rapidemment, il retrouva l'usage de ses jambes et parvint à se redresser. Il mit ses mains en évidence et constata qu'elles étaient bien différentes de celle d'avant. Elles étaient plus fines et adroites. Il frôla l'ensemble de son nouveau corps car il le découvrait pour la première fois et le découvrait.
Son apparences n'avaient plus rien à voir avec celle d'elfe de la nuit d'avant. Bien qu'il n'en demeure pas moins de sexe masculin, ce corps était très éfféminé tout autant plus fort que l'ancien. Ses long cheveux argentés d'autrefois étaient devenu noir comme le jais, ses jambes étaient plus courbées et se terminaient par des sabots étranges et ses oreilles avaient adopté une forme ressemblant à des cornes sans en être.

Mais après la découverte presque joyeuse de cete nouvelle envellope vînt la surprise la plus improbable. Le Dévorêve se rendit compte qu'il n'avait pas attéri en Azeroth. L'endroit où il se trouvait ne ressemblait à aucune des régions connues de Kalimdor ou même du continent de l'Est. Ces étendues désertiques aux couleurs rouges et ce ciel faisait un peu pensé à Durotar, mais les ressemblances n'étaient que trop vagues pour que ce fut ça. Les vents magiques environnants étaient eux même bien différents. Ce n'était même pas le même monde car où qu'il porte son regard, le Dévorêve ne ressentait pas la présence de ce qui fut le berceau de sa naissance : l'ancien puit d'éternité.
L'évidence s'imposa d'elle-même. Par accident, il n'avait pas attéri en Azeroth comme il l'espérait, mais en Draenor, le monde mystique dont il avait entendu et lu tant d'histoires et de références au cours des âges. Le désespoir failli le saisir ... quand une information capitale lui revint brutalement en mémoire. Il se remémora une conversation avec un de ses amis d'Azeroth, Mnemosyn le démoniste. La pensée de ce démoniste un peu déjanté le fit rire. Il se souvenait encore de lui en train de lâcher accidentellement un infernal en plein milieu de Stormwind et où tous interrompaient aussitôt leurs conversations pour terrasser le problème.
Revenant à son sujet de départ, le Dévorêve se souvint de cette nuit où il avait invité Mnemosyn à parler derrière le temple d'Elune. Oui! Le Dévorêve lui avait bien dit que la porte entre les mondes de la légion ardente et d'Azeroth s'apprêtait à céder. Par monde de la légion ardente, il avait parlé justement de Draenor, l'appelant juste par un nom évoquant les dangers qui allaient suivre l'apparition d'un accès. Cela faisait si longtemps que ça s'était presque effacer de sa mémoire.
Bien que d'une part, ce souvenir ne le réjouit pas, le "revenant" fut soulagé car ce n'était plus qu'une question de temps avant qu'il ne puisse rejoindre ses amis de l'autre côté.
Un sourire se dessina sur son visage et un instant ses yeux brillèrent d'une lueur verte maladive, caractèriqtique qui lui était survécu malgré sa métamorphose. Les barrières qui séparaient Azeroth et Draneor s'affaiblissaient chaques jours un peu plus, mais ils restaient encore un peu de temps avant que la porte des ténèbres ne redevienne utilisable dans un sens ou dans l'autre et c'était parfait pour le Dévorêve car son séjour prolongé dans le rêve d'èmeraude lui avait fait oublier bon nombre de bases du monde où l'on respire qu'il se devait de retrouver. Mais en plus, il devait apprendre à maîtriser les nouveaux pouvoirs qu'il avait acquis dans le monde des rêves dans celui de la matière où les rêgles divergeaient. La route était encore longue!

Le rêve d'èmeraude était agité de remoues. L'influence du cauchemar s'étendait, pervertissant ce qui avait le melheur de croiser sa route et semant le chaos et la mort. Le temps pressait et le Dévorêve était enfin prêt à revenir d'entre les morts une nouvelle fois. Cela faisait longtemps que son esprit n'avait plus goûté la saveur de la chair et du vent, longtemps que les senteurs d'Azeroth lui manquaient ... ainsi que ses anciens compagnons et surtout sa femme et sa fille. Depuis qu'il avait quitté le monde qu'il avait jadis tenté de détruire, il s'était posé milles questions sur cette famille qu'il avait été contraint d'abandonner. Etait-elle encore vivantes? Le reconnaîtrait-elle lorsque les deux personnes auxquels ils avaient tenu le plus le verraient après tant de temps?
Le temps pressait. La pestilente présence qui empoisonnait ce lieu se rapprochait, Le Dévorêve ne pouvait pas attendre plus longtemps. Ayant détruit son ancien corps, il se mit à invoquer un savoir ancien et peu à peu, il commença à renouer des liens avec le monde de la matière. Tout autour de son esprit, un corps se formait en accord avec les capacitées nouvelles qu'il avait acquises aux cours de son errance.
Il vit le rêve d'èmeraude disparaître tel un voile rongé par le feu tandis que ses yeux quittaient le plan du rêve pour devenir réalité.
Surpris par les retrouvailles soudaines de la masse corporelle, le Dévorêve tomba à genoux tandis qu'il respirait de l'air pour la première fois depuis bien trop longtemps. Rapidemment, il retrouva l'usage de ses jambes et parvint à se redresser. Il mit ses mains en évidence et constata qu'elles étaient bien différentes de celle d'avant. Elles étaient plus fines et adroites. Il frôla l'ensemble de son nouveau corps car il le découvrait pour la première fois et le découvrait.
Son apparences n'avaient plus rien à voir avec celle d'elfe de la nuit d'avant. Bien qu'il n'en demeure pas moins de sexe masculin, ce corps était très éfféminé tout autant plus fort que l'ancien. Ses long cheveux argentés d'autrefois étaient devenu noir comme le jais, ses jambes étaient plus courbées et se terminaient par des sabots étranges et ses oreilles avaient adopté une forme ressemblant à des cornes sans en être.

Mais après la découverte presque joyeuse de cete nouvelle envellope vînt la surprise la plus improbable. Le Dévorêve se rendit compte qu'il n'avait pas attéri en Azeroth. L'endroit où il se trouvait ne ressemblait à aucune des régions connues de Kalimdor ou même du continent de l'Est. Ces étendues désertiques aux couleurs rouges et ce ciel faisait un peu pensé à Durotar, mais les ressemblances n'étaient que trop vagues pour que ce fut ça. Les vents magiques environnants étaient eux même bien différents. Ce n'était même pas le même monde car où qu'il porte son regard, le Dévorêve ne ressentait pas la présence de ce qui fut le berceau de sa naissance : l'ancien puit d'éternité.
L'évidence s'imposa d'elle-même. Par accident, il n'avait pas attéri en Azeroth comme il l'espérait, mais en Draenor, le monde mystique dont il avait entendu et lu tant d'histoires et de références au cours des âges. Le désespoir failli le saisir ... quand une information capitale lui revint brutalement en mémoire. Il se remémora une conversation avec un de ses amis d'Azeroth, Mnemosyn le démoniste. La pensée de ce démoniste un peu déjanté le fit rire. Il se souvenait encore de lui en train de lâcher accidentellement un infernal en plein milieu de Stormwind et où tous interrompaient aussitôt leurs conversations pour terrasser le problème.
Revenant à son sujet de départ, le Dévorêve se souvint de cette nuit où il avait invité Mnemosyn à parler derrière le temple d'Elune. Oui! Le Dévorêve lui avait bien dit que la porte entre les mondes de la légion ardente et d'Azeroth s'apprêtait à céder. Par monde de la légion ardente, il avait parlé justement de Draenor, l'appelant juste par un nom évoquant les dangers qui allaient suivre l'apparition d'un accès. Cela faisait si longtemps que ça s'était presque effacer de sa mémoire.
Bien que d'une part, ce souvenir ne le réjouit pas, le "revenant" fut soulagé car ce n'était plus qu'une question de temps avant qu'il ne puisse rejoindre ses amis de l'autre côté.
Un sourire se dessina sur son visage et un instant ses yeux brillèrent d'une lueur verte maladive, caractèriqtique qui lui était survécu malgré sa métamorphose. Les barrières qui séparaient Azeroth et Draneor s'affaiblissaient chaques jours un peu plus, mais ils restaient encore un peu de temps avant que la porte des ténèbres ne redevienne utilisable dans un sens ou dans l'autre et c'était parfait pour le Dévorêve car son séjour prolongé dans le rêve d'èmeraude lui avait fait oublier bon nombre de bases du monde où l'on respire qu'il se devait de retrouver. Mais en plus, il devait apprendre à maîtriser les nouveaux pouvoirs qu'il avait acquis dans le monde des rêves dans celui de la matière où les rêgles divergeaient. La route était encore longue!

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Invité

(Désolé pour les répétitions Embarassed

Y'a eu un bug)

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Invité

Après plusieurs jours, le Dévorêve commença à maîtriser son nouveau corps et décida d"explorer ce monde nouveau : Draenor, l'Outreterre.
Tout en marchant à travers les étendues de sables et de roches rouges ,il se sentit un peu géné d'avoir laissé mourrir son ancien corps dans l'ancien refuge de Malfurion Stormrage, mais il était de toute façon trop tard pour regretter car même s'il eut voulu, il lui était impossible de réintégrer cette envellope ... et même s'il avait pu, il ne s'y serait pas réincarné car l'apparence d'un elfe de la nuit nescessitait pour s'intégrer dans l'Alliance de respecter leurs lois, des lois allant à l'encontre de sa nature.
Ses pensées se mirent à aller au gré des vents. Il se souvenait du temps où il était druide, où il avait tenté tant bien que mal de ne pas se servir de ses sombres capacitées avant de devenir fou et de s'en servir abondamment. Mais grâce à ses amis ... et à son amour, il avait pu finalement vaincre cette partie de lui. Mais c'était aussi pour ça qu'il était parti! Malgré ses tentatives pour les aider, son manque de pouvoir et contrôle sur ses deux personnalités ne créaient que discorde autour de lui. Mais à présent, il ne lui restait plus qu'a reprendre des habitudes avec la matière et il pourrait assumer son serment au grand Archidruide Malfurion.

Après deux heures de marche et plusieurs changements d'environnement, l'éxilé des rêves finit par atteindre ce qui ressemblait à un village. Il y pénétra et vit avec horreur que c'était un village d'érédars, démons les plus dangereux au service du destructeur de monde. Mais alors qu'il voulu s'enfouir, l'un d'eux lui fit signe amicalement. Un peu déconcerté par ce geste amical, le Dévorêve demeura immobile jusqu'à ce que ce même érédar, aussi musclé qu'un orc vétéran, ne vienne à lui.
-"Comptes-tu rester là à regarder ou bien te joindras-tu à nous?" dit-il.
Bien qu'il en ait l'apparence, cette créature n'avait rien à voir avec les monstres qui avaient jadis tenté de détruire Azeroth. Feintant la confiance, le Dévôrêve se laissa guider par le "Draenéi" (c'était ainsi qu'il se désignait ainsi que ses semblables).

Invité

Dans ce village perdu de l'Outreterre, le Dévorêve pasa des jours tranquille au milieu de ces érédars rebellés qui se donnaient le nom de "Draenéi" ou "éxilé" dans leur langue. Le corps qu'il s'était recréer leur ressemblait apparemment assez pour qu'il l'eut prit pour un des leurs. Cependant, l'éxilé des rêves dut à plusieurs reprises leur rappeler qu'il était un homme et non une de leurs femmes, car bien que ressemblant en de nombreux points à eux tous, son corps androgyne laissait un doute immense sur son sexe. A plusieurs reprises, le Dévorêve s'était dit que c'était là des vestiges de l'elfe de la nuit qu'il avait jadis incarné ainsi que la manifestation de son attachement pour ce qu'il avait vécu lorsqu'il en avait l'apparence. Mais même si c'était le cas, ça n'empêchait pas l'éxilé des rêves de s'énerver quand il se faisait désigner comme une fille et c'était à ces moments là qu'il regrettait de ne plus pouvoir prendre son ancienne forme primordiale dans ce monde comme il le faisait abondamment en Azeroth.

Ce jour-là, le Dévorêve s'était un peu éloigné du village afin d'y trouver la tranquilité. Toutefois, il ne s'éloigna que peu car en ces terres aux apparences paisibles se cachaient des tribus d'orcs rouges plus sanguinaires et répugnantes que la horde d'Azeroth ne le serait jamais. Chaques jours depuis son arrivé, ces monstres, puant de la coruption de la légion ardente, venaient attaqués les environs ... et les morts se contaient hélas en nombre toujours croissant.
Malgré cela, il avait en cet instant besoin de calme. Il passa un de ses doigts fins sur son oreille gauche qui, bien que plus recourbées que son ancienne, avait gardé une trace de son apparence passée. Une cicatrice encerclait tel un anneau la base de cette oreille. Une blessure qui datait du temps où sa folie avait ressurgie et où un de ses amis, Orllanth Castaka, lui avait coupé une oreille. C'était à un symbole de ses erreurs passées parmis tant d'autres, mais de hors de ses souvenirs, c'était le seul qui lui restait et il avait refusé qu'on le fasse disparaître.
La nostalgie battait son plein sous le soleil couchant de ce 9ème jour passé aux côtés de l'ancienne race d'Archimonde. Malgré les batailles contre les orcs rouges et la tristesse qui en découlait, l'ancien druide de la folie se plaisait beaucoups au milieu de ses nouveaux compagnons, autant par le savoir qu'ils lui apportaient que par leur générosité à son égard. Ils le raillaient de temps en temps, mais ce n'était jamais méchamment, juste un sujet de plaisanterie qui leur remontait le moral. Ce n'était pas si différent de sa vie passé après tout, mais ici, il n'avait plus à caindre d'un jour les trahir.

Un grand bruit brisa le calme de la soirée. L'alerte était donné! Les orcs attaquaient à nouveau. D'un réflexe, le Dévorêve claqua des doigts ... mais rien ne se passa. Varbolg ... le vieux compagnon du Dévorêve qui lui servait aussi de monture était mort depuis longtemps, mais il ne s'y habituait décidemment pas. C'était en pensant à cette immense panthère couleur brume qu'il regrettait de n'avoir encore de quoi le ramener à la vie ... et de devoir encore attendre de pouvoire revenir en Azeroth. Il souffla d'exaspération puis se décida à courir en direction du village. Une nouvelle bataille se préparait!

Invité

"Pourquoi? Pourquoi où que l'on puisse pauser un pied, que ce soit sur un autre continent ou un autre monde, fallait-il que ne suive que guerre et morts? Pourquoi???"
Cette phrase résonait dans la tête du Dévorêve comme l'écho d'une cloche l'aurait fait dans les cavernes des lamentations. Les plaines qui entouraient le village étaient devenues invisibles sous la masse grouillante des orcs rouges ou "gangr'orc". La bataille faisait rage! Aux côtés des draenéis qui l'avaient accueilli à bras ouverts, l'ancien druide de la folie lançait d'innombrables rafales de sorts sur les rangs ennemis. Innombrables étaient les pertes dans les rangs orcs, mais leurs rangs paraissaient grandir tandis que les draenéis tombaient peu à peu de fatigue, sous les coups d'une hache chanceuses ou pire sous les sorts malsains des démonistes orcs et l'éxilé des rêves ne devaient sa survie actuelle qu'à une chance hors du commun. Ces combats étaient éprouvant autant sous le poids des morts que la réadaptation du Dévorêve était encore imparfaite. Cela n'empêcha toutefois pas les éclairs qu'il lançait d'être dévastateur sur ses adversaires et ses horions, lancées en claquant des doigts, de grandement ralentir ces démonistes de malheur.
Hélas, un trait de l'ombre passa outre les défenses que maintenait les paladins et l'un d'eux fut touché en plein coeur. Le Dévorêve se retourna pour voir qui était le malheureux ... ou plutôt LA malheureuse. La colère s'empara de lui lorsqu'il pu voir le visage de la nouvelle victime, car il s'agissait de la soeur du draenéi qui l'avait accueilli le jour où il était arrivé en Outreterre. Pas une larme ne tomba de ses yeux, mais ses yeux se mirent à briller d'une lueur zébrée de petits éclairs de même couleur puis ce fut son bras droit qui fut entouré par la foudre. Avec la rapidité d'une panthère, il se retourna vers les assaillants et scrupta les gangr'orc du regard. Il finit par apercevoir les trois seuls démonistes qui aurait pu lancer ce sort et sans l'ombre d'une hésita, il pointa sa main vers le plus proche. Un éclair frappa de plein fouet cette première cible en pleine tête, aussitôt la foudre ricocha sur son confrêre puis sur le troisième, tout d'eux reçurent la foudre là où la draenéi avait été touchée.
Rendu fou par la rage, le Dévorêve lança ses éclairs de façon frénétique et si folle que les rangs orcs commencèrent à perdre moral et les draenéis commencèrent à partager l'émotion qui imprègnait l'éxilé des rêves.
Pour la première fois depuis le début de la bataille, les orcs rouges commencèrent à montrer des signes de faiblesses. Encombrés par le ombres considérables de corps qui encombraient leurs mouvements et désormais face à des adversaires gonflé d'autant de colère qu'eux, de plus en plus d'orcs prirent la fuite tandis que les plus téméraires tombaient les uns après les autres. L'un d'eux lança un regard des plus noirs au Dévorêve tout en se frappant le torse en signe de défi. C'était apparemment le dernier à avoir encore le courage de charger. Alors que ses compagnons s'apprètaient à lancer de quoi achever ce dernier orcs fou, l'éxilé les arrèta d'un geste.
-"Laissez! Je vais m'occuper de celui-ci." dit-il d'une voix qui aurait enlever toute envie à qui que ce soit de faire une remarque sur son apparence.
Enjambant les cadavres de ses semblables, le gangr'orc s'avança vers son adversaire d'un pas plus calme, imité par ce dernier. Brutalement, le guerrier leva sa hache de ses mains et chargea en hurlant ce qui devait être des chants de guerres et des prières à une quelquonque divinitée. Le Dévorêve, quand à lui, pointa ses doigts prêt à claquer en direction de l'attaquant et les fit faire lorsque l'orc fut assez prêt pour tenter un coup de hache mortel. Le guerrier reçu l'équivalent d'un souffle d'explosion droit dans les côtes et vola plusieurs mêtres à l'opposé de sa cible.
L'horion de terre du Dévorêve avait fait son office, mais l'orc, même avec les os de la poitrine brisés, refusait de mourrir, mais il était en même temps incapable de se relever. L'éxilé des rêves s'approcha de son adversaire vaincu sans le quitter des yeux. Tandis que ses jambes le portaient, son esprit travailla. La "prière" de cet orc avait ressassé à l'ancien druide de la folie le temps où il avait vénérer la déesse araignée Lloth et par la même, toute les horreurs qu'on pouvait commettre quand on servait un dieu sanglant. Lorsqu'il fut à porté suffisante, le Dévorêve claqua à nouveau des doigts en direction du gangr'orc qui s'enflamma brusquement.
Avec la cruauté de jadis, il regarda l'orc bruler vif sans rien faire pour abréger ses cris et sa souffrance. Si les orcs de la horde d'Azeroth méritait un peu de respect, ces gangr'orc n'étaient guère plus que des monstres avec lesquels la pitiée était un mot proscrit.
Alos que l'orc rouge rendait son dernier soupir, le Dévorêve se retourna vers les draenéis.
-"Ca ne peut plus continuer!, dit-il tristement. Ses yeux redevinrent normaux. Il faut que le vaisseau se termine rapidemment ... sinon ces orcs finiront par tous nous tuer!"
Les autres ne dirent rien pendant un moment puis l'un d'eux se décida à répondre.
-"Le dernier messager de Velen nous a bien dit que les travaux s'achevaient. Nous pourrons bientôt partir."
-Si les travaux s'achèvent alors nous devrions rejoindre les autres avant que de nouveaux orcs ne surgissent, reprit le Dévorêve. Là bas, nous aurons bien plus de chance de survivre."
Personne n'y vit d'objections. Bien que ce fut douloureux pour tout le monde, ils allaient dés à présent partir. L'éxilé des rêves était à la fois content et triste. Il était certe content de savoir qu'il allait bientôt retourner sur Azeroth ... mais il regrettait de devoir abandonné cet endroit où pour la première fois depuis longtemps, il avait été accueilli sans méfiance ni préjugé et où il s'était forgé bien des liens avec cette race descendante des érédars.

Invité

Le vaisseau que les draenéi avaient construits étaient plus grand encore que le palais de Stormwind ... il dépassait même la taille de plusieurs quartiers tant en longueur qu'en largeur. Alliage fantastique entre la magie et la mécanique, le Dévorêve eut du mal à ne pas tomber en admiration devant cette oeuvre. Si cette immense machine devait réellement atteindre sa destination, alors jamais les draenéis n'auraient à se construire une capitale pour s'abriter tant cet édifice mouvant était grand.
Les derniers préparatifs s'achevaient, mais cela demanderait encore plusieurs semaines avant que le départ de Draenor vers Azeroth ne soit possible, même avec les expertises de l'oracle Velen (c'est ainsi que le Dévorêve décrivait ce dirigeant des érédars révoltés) et ses suivants unies.
Malgré le nombres toujours croissants de batailles contre les gangr'orcs, cette vermine semblait toujours plus forte d'un combat à l'autre et le nombres de ces abérrations semblaient indéterminables et hélas, il n'en était pas de même pour les rangs de l'éxilé des rêves. Mais ce n'était pas uniquement pour ça qu'à cet instant, l'ancien druide de la folie était brulant de nervosité. Certe les pertes encaissées dans les rangs Draenéis étaient un poids énorme qui lui pesait sur la conscience, mais par-dessus tout, il voulait rentré chez lui! Même s'il eut honte sur le coups de faire passer sa soif de retour avant le deuil de ses compagnons du moment, c'était ainsi. Ses anciens compagnons, ses anciens frêres d'armes, ses anciens amis, tous, surgissaient dans sa mémoire comme un geyser pouvait venir troubler les eaux calmes.
Sentant qu'il ne pourrait cacher son sentiment longtemps, le Dévorêve s'isola dans une partie reculée des ailes du vaisseaux. Parsemé de cristaux et terminé depuis longtemps, cet endroit était accessible depuis peu aux premiers draenéis ... mais certains coins demeuraient déserts. Quel qu'en soit les raisons, c'était parfait. Lorsqu'il fut seul, l'éxilé planta ses doigts contre un des piliers et griffa la paroi pour expulser sa colère. Les marques laissés auraient fait comprendre au dernier des trolls venus que l'être à l'apparence maigrichonne de draenéis avait encore certains pouvoirs du druide qu'il avait été comme celui de changé ses doigts en griffes.
-"J'en ai assez! J'en ai asssssssssssssssssssssssssez d'attendre!" dit-il colériquement.
Le ton de sa voix fit l'espace d'un instant penser que sa langue était fourchue comme celle d'un serpent. C'était encore un vestige du temps où son corps était celui d'un elfe de la nuit. Ca lui arrivait encore quand il avait une idée néfaste derrière la tête ou que l'impatience, voir la colère, l'engloutissait. Il voulait retrouver sa vie d'antan, avec les mêmes désagremments et les mêmes avantages.
Tout lui manquait.
Il voulait à nouveau entendre les chansons et les poèmes de ce vieux Orllanth, lire les petits messages écrites de l'attachante Mayelle, entendre cette rageuse de Nozomi l'insulter de démon, voir la douce et généreuse Messy avec derrière Fandralwen prête à lui couper la tête à la première occasion, regarder le "Mnemoniste" en appeler à son infernal pour en perdre le contrôle 3 secondes plus tards, faire des recherches au côté de Tyranelle, des aventures aux côtés des frêres Emeric et Equinox ... mais, aussi et surtout, serrer dans ses bras sa tendre femme ainsi que sa fille. En pensant à elles, sa colère se muta en tristesse teintée de mélancolie. Même si c'était par nescessité, il regrettait de les avoir quittées ... de les avoir abandonnées. Une pensée lui pétrifia l'esprit! Et si elles l'avaient définitvement oublié? Si elles décident toutes deux de le renier en le voyant avec cette apparence? Ou pire encore ...
-"Tu rêve encore?" fit une voix derrière lui. Le Dévorêve se retourna. C'était Daragan! Le draenéi qui l'avait accueilli le jour de son arrivé voilà de cela près d'un mois et dont la soeur avait été tué à la dernière bataille pour le village.
-"Oui, répondit mélancoliquement le rêveur. Je ... je veux rentrer chez moi ... quitter ce champs de bataille et retrouver ma famille, dut-elle encore exister."
Daragan posa amicalement sa main sur l'épaule du "roué". (C'était ainsi qu'on qualifiait tout les draenéis pratiquant le "chamanisme", art le plus proche de celui que pratiquer le Dévorêve.)
-"Je suis sûre qu'elle existe encore. Cesse de te tourmenter pour ça, ça ne t"aiderai pas." le ton de sa voix était parmis les plus rassurantes à entendre parmis ces érédars de lumière.
-"En plus, ça te fait ressembler davantage encore à une femme, et c'est loin d'être facile, crois-moi!" ajouta-t-il en riant soudainement.
L'éxilé des rêves fit mine d'être géné par la remarque du paladin. D'ordinaire, il se serait énerver, mais pas contre Daragan. Ce draenéi était un des personnages les plus protecteur et les plus jovials que les mondes aient jamais porté et jamais, il ne se moquerait méchamment de quelqu'un. Cette raillerie était monnaie courant pour le Dévorêve, qui admettait lui même que son corps avait une mophologie plus proche de la grâce des draenéis femelles que de l'impressionnante musculature des mâles.
-"Y'aura-t-il un jour où vous arrèterez de me casser les oreilles avec ça?!, dit-il en simulant maladroitement un visage sérieux qui ne trompa pas le paladin.
-"Allez, viens! On nous a préparé de quoi manger. Je suis sûre que ça te remettra de bonne humeur." dit Daragan, le visage toujours illuminé d'un sourire protecteur.
-"Tant que vous me laissez un peu de viandes et pas que vos légumes, je crois que ça me remettrait de bonne humeur même après avoir perdu une jambe."
Tout deux rirent à la suite de cette phrase, puis se dirigèrent là où devait se tenir le souper de tous.

Invité

Le vaisseau que les draenéi avaient construits étaient plus grand encore que le palais de Stormwind ... il dépassait même la taille de plusieurs quartiers tant en longueur qu'en largeur. Alliage fantastique entre la magie et la mécanique, le Dévorêve eut du mal à ne pas tomber en admiration devant cette oeuvre. Si cette immense machine devait réellement atteindre sa destination, alors jamais les draenéis n'auraient à se construire une capitale pour s'abriter tant cet édifice mouvant était grand.
Les derniers préparatifs s'achevaient, mais cela demanderait encore plusieurs semaines avant que le départ de Draenor vers Azeroth ne soit possible, même avec les expertises de l'oracle Velen (c'est ainsi que le Dévorêve décrivait ce dirigeant des érédars révoltés) et ses suivants unies.
Malgré le nombres toujours croissants de batailles contre les gangr'orcs, cette vermine semblait toujours plus forte d'un combat à l'autre et le nombres de ces abérrations semblaient indéterminables et hélas, il n'en était pas de même pour les rangs de l'éxilé des rêves. Mais ce n'était pas uniquement pour ça qu'à cet instant, l'ancien druide de la folie était brulant de nervosité. Certe les pertes encaissées dans les rangs Draenéis étaient un poids énorme qui lui pesait sur la conscience, mais par-dessus tout, il voulait rentré chez lui! Même s'il eut honte sur le coups de faire passer sa soif de retour avant le deuil de ses compagnons du moment, c'était ainsi. Ses anciens compagnons, ses anciens frêres d'armes, ses anciens amis, tous, surgissaient dans sa mémoire comme un geyser pouvait venir troubler les eaux calmes.
Sentant qu'il ne pourrait cacher son sentiment longtemps, le Dévorêve s'isola dans une partie reculée des ailes du vaisseaux. Parsemé de cristaux et terminé depuis longtemps, cet endroit était accessible depuis peu aux premiers draenéis ... mais certains coins demeuraient déserts. Quel qu'en soit les raisons, c'était parfait. Lorsqu'il fut seul, l'éxilé planta ses doigts contre un des piliers et griffa la paroi pour expulser sa colère. Les marques laissés auraient fait comprendre au dernier des trolls venus que l'être à l'apparence maigrichonne de draenéis avait encore certains pouvoirs du druide qu'il avait été comme celui de changé ses doigts en griffes.
-"J'en ai assez! J'en ai asssssssssssssssssssssssssez d'attendre!" dit-il colériquement.
Le ton de sa voix fit l'espace d'un instant penser que sa langue était fourchue comme celle d'un serpent. C'était encore un vestige du temps où son corps était celui d'un elfe de la nuit. Ca lui arrivait encore quand il avait une idée néfaste derrière la tête ou que l'impatience, voir la colère, l'engloutissait. Il voulait retrouver sa vie d'antan, avec les mêmes désagremments et les mêmes avantages.
Tout lui manquait.
Il voulait à nouveau entendre les chansons et les poèmes de ce vieux Orllanth, lire les petits messages écrites de l'attachante Mayelle, entendre cette rageuse de Nozomi l'insulter de démon, voir la douce et généreuse Messy avec derrière Fandralwen prête à lui couper la tête à la première occasion, regarder le "Mnemoniste" en appeler à son infernal pour en perdre le contrôle 3 secondes plus tards, faire des recherches au côté de Tyranelle, des aventures aux côtés des frêres Emeric et Equinox ... mais, aussi et surtout, serrer dans ses bras sa tendre femme ainsi que sa fille. En pensant à elles, sa colère se muta en tristesse teintée de mélancolie. Même si c'était par nescessité, il regrettait de les avoir quittées ... de les avoir abandonnées. Une pensée lui pétrifia l'esprit! Et si elles l'avaient définitvement oublié? Si elles décident toutes deux de le renier en le voyant avec cette apparence? Ou pire encore ...
-"Tu rêve encore?" fit une voix derrière lui. Le Dévorêve se retourna. C'était Daragan! Le draenéi qui l'avait accueilli le jour de son arrivé voilà de cela près d'un mois et dont la soeur avait été tué à la dernière bataille pour le village.
-"Oui, répondit mélancoliquement le rêveur. Je ... je veux rentrer chez moi ... quitter ce champs de bataille et retrouver ma famille, dut-elle encore exister."
Daragan posa amicalement sa main sur l'épaule du "roué". (C'était ainsi qu'on qualifiait tout les draenéis pratiquant le "chamanisme", art le plus proche de celui que pratiquer le Dévorêve.)
-"Je suis sûre qu'elle existe encore. Cesse de te tourmenter pour ça, ça ne t"aiderai pas." le ton de sa voix était parmis les plus rassurantes à entendre parmis ces érédars de lumière.
-"En plus, ça te fait ressembler davantage encore à une femme, et c'est loin d'être facile, crois-moi!" ajouta-t-il en riant soudainement.
L'éxilé des rêves fit mine d'être géné par la remarque du paladin. D'ordinaire, il se serait énerver, mais pas contre Daragan. Ce draenéi était un des personnages les plus protecteur et les plus jovials que les mondes aient jamais porté et jamais, il ne se moquerait méchamment de quelqu'un. Cette raillerie était monnaie courant pour le Dévorêve, qui admettait lui même que son corps avait une mophologie plus proche de la grâce des draenéis femelles que de l'impressionnante musculature des mâles.
-"Y'aura-t-il un jour où vous arrèterez de me casser les oreilles avec ça?!, dit-il en simulant maladroitement un visage sérieux qui ne trompa pas le paladin.
-"Allez, viens! On nous a préparé de quoi manger. Je suis sûre que ça te remettra de bonne humeur." dit Daragan, le visage toujours illuminé d'un sourire protecteur.
-"Tant que vous me laissez un peu de viandes et pas que vos légumes, je crois que ça me remettrait de bonne humeur même après avoir perdu une jambe."
Tout deux rirent à la suite de cette phrase, puis se dirigèrent là où devait se tenir le souper de tous.

» [ Onyxia ]ONyxia le retour lundi 19 a 21 h